Ellen Hayward participará en el panel 'Paradigmas empíricos y culturales. Villes européennes face aux villes brésiliennes' con una ponencia sobre 'Le programme « Cultura Viva » et le réseau national brésilien « Pontos de Cultura »' que tendrá lugar el martes, 12 de mayo, a partir de las 9 y media de la mañana.
Ellen Heyward prépare actuellement un M1 en Politiques et gestion de la culture à l’Institut d’Etudes Européennes de l’Université de Paris 8. De double nationalité australienne et anglaise, Ellen a vécu plusieurs années en Argentine, Chine, France et Brésil, pays dans lesquels elle a appris l’espagnol, le mandarin, le français et le portugais, tout en ayant l’opportunité de découvrir et apprécier la diversité culturelle mondiale.
Grâce à ses expériences professionnelles récentes au Brésil, où elle a travaillé, entre autres, au sein du Ministère de la culture brésilien, de la Compagnie de relations internationales PACTA et dans le Festival International de Cinéma de Brasilia, Ellen a pu connaître le dynamisme de la scène culturelle brésilienne.
Actuellement en stage à la Cité nationale de l’histoire de l’immigration à Paris, Ellen travaille dans la Direction du réseau des partenariats, qui a, parmi ses missions, le but de replacer la société civile au cœur du projet de la Cité. Plus spécifiquement, Ellen travaille sur le Répertoire des projets, répertoire qui recense l'ensemble des projets culturels pertinents ayant cours sur le territoire français. Les informations recueillies sont à disposition du public.
Le rôle dévolu à la société civile dans la construction des politiques culturelles contemporaines, ainsi que la coopération culturelle entre l’Union européenne et l’Amérique latine, représentent pour Ellen les enjeux qui informent ses parcours académique et professionnel.
Ellen Heyward prépare actuellement un M1 en Politiques et gestion de la culture à l’Institut d’Etudes Européennes de l’Université de Paris 8. De double nationalité australienne et anglaise, Ellen a vécu plusieurs années en Argentine, Chine, France et Brésil, pays dans lesquels elle a appris l’espagnol, le mandarin, le français et le portugais, tout en ayant l’opportunité de découvrir et apprécier la diversité culturelle mondiale.
Grâce à ses expériences professionnelles récentes au Brésil, où elle a travaillé, entre autres, au sein du Ministère de la culture brésilien, de la Compagnie de relations internationales PACTA et dans le Festival International de Cinéma de Brasilia, Ellen a pu connaître le dynamisme de la scène culturelle brésilienne.
Actuellement en stage à la Cité nationale de l’histoire de l’immigration à Paris, Ellen travaille dans la Direction du réseau des partenariats, qui a, parmi ses missions, le but de replacer la société civile au cœur du projet de la Cité. Plus spécifiquement, Ellen travaille sur le Répertoire des projets, répertoire qui recense l'ensemble des projets culturels pertinents ayant cours sur le territoire français. Les informations recueillies sont à disposition du public.
Le rôle dévolu à la société civile dans la construction des politiques culturelles contemporaines, ainsi que la coopération culturelle entre l’Union européenne et l’Amérique latine, représentent pour Ellen les enjeux qui informent ses parcours académique et professionnel.
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Abstract de la ponencia:
« Cultura Viva » est un programme mis en place par l’ancien Ministre de la Culture brésilien Gilberto Gil et qui vise à promouvoir la diversité culturelle nationale à travers le réseau des « Pontos de cultura ».
Le réseau, qui date de 2004, se compose actuellement de 740 « points de culture » éparpillés en 263 communes dans les 26 départements du Brésil. Chaque « point de culture » représente un « partenariat » entre l’Etat et la société civile. En effet, ce sont des initiatives culturelles développées par les communautés diverses en matière artistique, qui obtiennent la reconnaissance et le soutien financier du ministère.
Cette initiative inédite représente l’une des politiques culturelles brésiliennes révolutionnaires qui reconnaît activement la diversité culturelle brésilienne dans toute sa complexité. A travers la mise à disposition d’instruments, de costumes et d’équipements multimédias, ainsi que par l’embauche de professionnels pour accompagner la production de spectacles et d’événements culturels, ces « points de culture » créés dans des centres urbains, mais également dans des favelas et communautés périphériques, petites communes, villages indigènes et communautés « quilombola » reconnaissent et promeuvent la culture du peuple brésilien.
et
Le réseau, qui date de 2004, se compose actuellement de 740 « points de culture » éparpillés en 263 communes dans les 26 départements du Brésil. Chaque « point de culture » représente un « partenariat » entre l’Etat et la société civile. En effet, ce sont des initiatives culturelles développées par les communautés diverses en matière artistique, qui obtiennent la reconnaissance et le soutien financier du ministère.
Cette initiative inédite représente l’une des politiques culturelles brésiliennes révolutionnaires qui reconnaît activement la diversité culturelle brésilienne dans toute sa complexité. A travers la mise à disposition d’instruments, de costumes et d’équipements multimédias, ainsi que par l’embauche de professionnels pour accompagner la production de spectacles et d’événements culturels, ces « points de culture » créés dans des centres urbains, mais également dans des favelas et communautés périphériques, petites communes, villages indigènes et communautés « quilombola » reconnaissent et promeuvent la culture du peuple brésilien.
et
às que se encontram em pequenos municípios ou em aldeias indígenas, assentamentos rurais, comunidades quilombolas, universidades etc..
qui ont pour objectif de.
Cada Ponto de Cultura recebe, no total, R$ 185 mil reais em cinco parcelas semestrais. Atualmente, há 742 Pontos de Cultura espalhados em todo o território brasileiro. Até hoje, a Secretaria de Programas e Projetos Culturais já emitiu quatro editais. “É a primeira vez que o país recebe uma política verdadeiramente pública de cultura, reduzida até então a um mero entretenimento ou mesmo restringida à chamada ‘Bela Arte’, a ‘alta cultura’ erudita. Cultura é um pouco disto, mas também é referência histórica, costumes, condutas, desejos e reflexões”, comenta Célio Turino. Assim, o Programa faz reconhecer a cultura em toda a sua complexidade, desde as que ocorrem nas grandes cidades, em favelas e periferias.
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