Marie-Véronique Lecompte participará en el panel 'Régions et culture en Europe' con una ponencia titulada 'Le festival du printemps a Toulouse, un exemple unique de mediation culturelle urbaine?' y que tendrá lugar el sábado, 8 de mayo, a partir de las 6 y media de la mañana.
Diplômée d’une licence d’arts plastiques et photographie, Marie-Véronique est étudiante en politique et gestion de la culture en Europe à l’Institut d’études européennes de Paris 8.
En tant que stagiaire au GRAPh (Groupe de Recherche et d’Animation Photographique), Marie-Véronique se spécialise dans la recherche de financements européens pour le développement de la structure.
En parallèle de ses études, elle travaille avec « Connaissance de l’art contemporain » en tant que médiatrice et intervenante dans des ateliers auprès des publics plus ou moins sensibilisés à l’art.
Elle collabore avec « Territoires de Fiction », projet lié à l’utilisation des nouvelles technologies dans la création artistique avec des jeunes des quartiers.
Elle participe à la programmation artistique du Centre Méditerranéen de l’Image en Languedoc-Roussillon et mène également une activité photographique artistique.
En tant que stagiaire au GRAPh (Groupe de Recherche et d’Animation Photographique), Marie-Véronique se spécialise dans la recherche de financements européens pour le développement de la structure.
En parallèle de ses études, elle travaille avec « Connaissance de l’art contemporain » en tant que médiatrice et intervenante dans des ateliers auprès des publics plus ou moins sensibilisés à l’art.
Elle collabore avec « Territoires de Fiction », projet lié à l’utilisation des nouvelles technologies dans la création artistique avec des jeunes des quartiers.
Elle participe à la programmation artistique du Centre Méditerranéen de l’Image en Languedoc-Roussillon et mène également une activité photographique artistique.
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Abstract de la Ponencia:
Le festival du Printemps de septembre à Toulouse, un exemple unique de médiation culturelle urbaine?
Le festival du Printemps de septembre à Toulouse offre un parcours d’oeuvres contemporaines à travers la ville : dans des lieux institutionnels mais aussi dans des lieux improbables comme des usines, des maisons non habitées dans lesquelles on passe de pièce en pièce pour découvrir l'ensemble de l'œuvre.
L’organisation du festival propose une large médiation culturelle gratuite auprès d'un large public de différentes classes sociales. L’art devient alors un moyen de redécouvrir sa ville et ses espaces publics sous un nouvel aspect, il permet la rencontre, l’échange entre amis, famille ou inconnus.
Cette réussite a inspiré de nombreux festivals à l’étranger à développer leur médiation au public.
Quel est donc le secret du succès de cette médiation ? Quels sont les moyens mis en place, les étapes, le budget, le bilan ?
En parallèle, nous verrons comment les festivals étrangers s’en sont inspirés. Nous nous appuierons principalement sur la Biennale de Berlin, puis nous parlerons de l’exemple Québécois et de leur étude approfondie sur la médiation culturelle.
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